jeudi 11 décembre 2014

Renaissance des échauffourées accouchée d’un décès d’étudiant à l’Uac : Brice Sinsin négative sa chance à quelques jours des élections rectorale

Renaissance des échauffourées accouchée d’un décès d’étudiant à l’Uac

Brice Sinsin négative sa chance à quelques jours des élections rectorale

(Les cours suspendus jusqu’à nouvelle ordre par des responsables étudiants)

Candidat à sa propre succession, l’actuel recteur de l’universitaire d’Abomey-Calavi Brice Augustin Sinsin verra son ambition s’ébouler vu l’image que présente actuellement le campus universitaire d’Abomey-Calavi. Depuis le lundi 08 décembre dernier, le haut lieu du savoir jadis bourrée d’étudiants est déserté. Raison évoquée, Emmanuel Assimada, président du bureau d’union d’entité de la plus grande faculté de l’Uac (Ndr Pr Bue Flash) et les siens ont décrété le mouvement « Flash mort » en réaction à la militarisation du haut lieu du savoir, à l’arrestation de plusieurs des leurs et surtout à cause du décès de René Miwanou, étudiant en 2ème année de la philosophie suite aux échauffourées. Ledit mouvement est largement suivi même par les autres entités et sera effectif jusqu’à nouvelle ordre, à croire les initiateurs. C’est donc dire que si rien n’est fit par les autorités rectorales pour négocier le retrait des forces de l’ordre avant le 16 Décembre prochain, Brice Sinsin pourrait franchir d’énormes obstacles avant de parfaire d’abord les élections rectorales et après penser à succéder à lui-même. Puisqu’il est candidat pour sa propre succession. Faut-il dévoiler aussi qu’à l’heure actuelle en connaissance des relations bien tendues entre autorités rectorales et étudiants, il ne sera pas exagérer de penser à un supposé plan qu’envisageraient peut-être les étudiants pour rendre si possible le coup à Brice Sinsin et sa bande encore qu’ils sont électeurs le vendredi 16 Décembre prochain. Pour l’heure, aucune résolution n’est encore prise par les autorités rectorales concernant le nœud des échauffourées qui s’explique par le payement de la deuxième inscription et aussi en cas de reprise. Mais il porte de rappeler  qu’une telle décision rectorale serait légitime et qu’il faille que ces autorités négocient avec les responsables étudiants au lieu d’avoir comme recourt, les forces de l’ordre pour gazer les étudiants créant ainsi la panique tous les ans.  
Carinos CHANHOUN

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